dimanche 13 octobre 2013

Ma machine


Je l'aimeuuuuh...
C'est une Singer d'après-guerre, achetée par ma grand-mère dans les années '50 je pense. Et vraiment pur débuter, c'est le pied ! Ma grand-mère avait prévu de me montrer comment elle fonctionnait mais le temps passant, ça ne s'est jamais fait. Heureusement, quand j'en ai hérité, il restait plein de choses dans les tiroirs du meuble, dont le précieux manuel d'instructions !


Je l'ai lu attentivement, d'abord pour nettoyer les rouages et faire connaissance avec le nom de chaque pièce. Ensuite pour remplir la cannette et enfiler l'aiguille. Et vraiment, c'est super simple [si j'y suis arrivée c'est que tout le monde peut le faire !]. L'avantage avec ces anciennes mécaniques, c'est quelles sont quasiment inusables ! J'ai bien cassé des aiguilles, cousu du cuir, laissé la poussière s'accumuler... elle ne m'a jamais laissé tomber !
[On ne peut pas en dire autant de ma 2ème Singer achetée en grande surface, 80% de pièces en plastique, qui n'a même pas passé le cap des 1 AN ! Si, je vous jure !].
En plus, c'est facile à réparer, toutes les pièces sont en métal. Pas comme ces machines électroniques dernier cri où il faut avoir fait polytech' pour les dépanner. [Vous ai-je dit que je n'aimais pas beaucoup la technologie ?].

Le seul truc, avec les anciennes, c'est que seule la longueur du point est réglable (et la tension du fil, of course). Il n'y a pas de point zigzag, fantaisie, boutonnière ou autres... et elle fonctionne avec une pédale dont il faut de temps en temps resserrer la courroie en cuir.

En plus, elle est belle :











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